Sans pesanteur, découvertes infinies
19h > 19h45 // Salle Maxi
Flotter dans les airs comme un·e astronaute sans être dans l’espace, c’est possible ! Un avion un peu spécial se retrouve en chute libre contrôlée et fait connaître à ses occupant·es quelques secondes d’impesanteur. Plus qu’un lieu d’entrainement, c’est un laboratoire de recherche pour étudier des disciplines dans un cadre qu’on ne peut recréer sur Terre.Sans pesanteur, on perturbe la perception humaine pour en comprendre le fonctionnement. Le contexte est idéal pour tester les innovations utilisées dans l’espace, comme les technologies de réalité augmentée pour lier astronautes dans le ciel et médecins sur Terre.
Sébastien Rouquette, docteur en astrophysique-planétologie et responsable de l’activité vols paraboliques au Centre national d’études spatiales, et Tess Bonnard, doctorante au sein de l’Institut des Neurosciences Cognitives et Intégratives d’Aquitaine, vous proposent un échange au plus près des étoiles.
À propos des intervenant·es
Sébastien Rouquette
Sébastien Rouquette a grandi en regardant les nuages et l’espace.Son doctorat d’astrophysique-planétologie en poche en octobre 2000, il entre au Centre National d'Études Spatiales (CNES). Après cette période très riche au contact des transmetteurs de savoir (et de passion), il s’est de nouveau plongé dans les missions spatiales, pour se consacrer à la définition de projets de satellites. Il a ainsi contribué à des programmes s’intéressant tant à l’observation de la Terre qu’à l’astrophysique.
Depuis 2011, il occupe le poste de chef de projet vols paraboliques à bord d'un spationef nommé ZERO-G, un trait d'union entre le ciel et l'espace, au sein du Cadmos. Son rôle est de coordonner la sélection des expériences scientifiques et de superviser l’organisation des campagnes de vols.
Pilote privé, instructeur de planeur et médiateur scientifique dans le monde associatif, il partage largement sa passion pour les sciences, le ciel et l’espace. Il essaie d’être un passeur entre deux mondes et de trouver le temps de partager, la passion des sciences avec ceux qui n’y ont que trop peu accès.
Sébastien Rouquette a grandi en regardant les nuages et l’espace.Son doctorat d’astrophysique-planétologie en poche en octobre 2000, il entre au Centre National d'Études Spatiales (CNES). Après cette période très riche au contact des transmetteurs de savoir (et de passion), il s’est de nouveau plongé dans les missions spatiales, pour se consacrer à la définition de projets de satellites. Il a ainsi contribué à des programmes s’intéressant tant à l’observation de la Terre qu’à l’astrophysique.
Depuis 2011, il occupe le poste de chef de projet vols paraboliques à bord d'un spationef nommé ZERO-G, un trait d'union entre le ciel et l'espace, au sein du Cadmos. Son rôle est de coordonner la sélection des expériences scientifiques et de superviser l’organisation des campagnes de vols.
Pilote privé, instructeur de planeur et médiateur scientifique dans le monde associatif, il partage largement sa passion pour les sciences, le ciel et l’espace. Il essaie d’être un passeur entre deux mondes et de trouver le temps de partager, la passion des sciences avec ceux qui n’y ont que trop peu accès.
Tess Bonnard
Quand une professeure demande à Tess Bonnard quel serait son métier idéal, si tout était possible, la réponse est toute trouvée : « astronaute », car elle est fascinée par le domaine spatial depuis de longues années.
D’abord intéressée par l’astrophysique, Tess décide de s’orienter dans la biologie, car les mathématiques n’étaient pas son point fort. Elle a réalisé une double licence en biologie et chimie avant de choisir les neurosciences comme thématique de recherche à partir du master.
Tess est à présent doctorante au sein de l’Institut des Neurosciences Cognitives et Intégratives d’Aquitaine (INCIA) à Bordeaux. Elle s’intéresse au système vestibulaire en gravité modifiée et cherche à comprendre l’apparition du mal des transports et son impact sur notre intégration sensorielle. Son but à terme est d’associer neurosciences et études spatiales dans son travail. Et qui sait, postuler aux prochaines de recrutements d’astronautes !
Quand une professeure demande à Tess Bonnard quel serait son métier idéal, si tout était possible, la réponse est toute trouvée : « astronaute », car elle est fascinée par le domaine spatial depuis de longues années.
D’abord intéressée par l’astrophysique, Tess décide de s’orienter dans la biologie, car les mathématiques n’étaient pas son point fort. Elle a réalisé une double licence en biologie et chimie avant de choisir les neurosciences comme thématique de recherche à partir du master.
Tess est à présent doctorante au sein de l’Institut des Neurosciences Cognitives et Intégratives d’Aquitaine (INCIA) à Bordeaux. Elle s’intéresse au système vestibulaire en gravité modifiée et cherche à comprendre l’apparition du mal des transports et son impact sur notre intégration sensorielle. Son but à terme est d’associer neurosciences et études spatiales dans son travail. Et qui sait, postuler aux prochaines de recrutements d’astronautes !
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Mis à jour le 22 février 2024.